Manger moins salé : c’est bon pour la santé !
« Passe-moi le sel, s’il-te-plaît » est LA petite phrase à bannir de votre table. Malgré les nombreuses sonnettes d’alarme, nous continuons à surconsommer du sel, parfois sans même nous en rendre compte. Une récente étude scientifique rappelle les dangers de cette addiction qui ne dit pas son nom.
La salière, voilà l’ennemi !
Selon une étude parue dans The British Medical Journal de janvier 2017, réduire notre consommation de sel de seulement 10 % permettrait de freiner considérablement la mortalité due aux maladies cardiaques.
Les chercheurs rappellent les nombreux risques liés à une alimentation trop salée : hypertension, maladies cardio-vasculaires (AVC, infarctus), ostéoporose et rétention d’eau.
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) confirme d’ailleurs que 1,65 million de décès pourraient être évités chaque année si l’on respectait la recommandation de ne pas dépasser 5 g de sel par jour, quand les Français en consomment en moyenne près du double !
Une pincée d’épices contre le sel caché
En 2013, le Journal of the American Medical Association alertait déjà sur la très forte teneur en sel de l’alimentation industrielle. Une tendance d’autant plus pernicieuse que 80 % du sel que nous consommons est caché : utilisé comme conservateur, on en trouve même dans les produits sucrés !
L’ANSES (Agence nationale de sécurité de l’alimentation, de l’environnement et du travail) conseille donc de bannir la salière de la table et de se méfier des plats préparés, surgelés et autres conserves.
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